LE COLLAGÈNE AU COEUR DE LA FERMETÉ CUTANÉE

Nous savons que le collagène est la protéine la plus abondante du corps.
Il représente à peu près un tiers de la masse sèche de notre corps, c’est-à-dire en ne comptant pas l’eau, autre élément vital pour notre organisme.
Si on pouvait zoomer à l’intérieur de notre peau, on apercevrait un réseau de cordes microscopiques – qui ne sont autres que les faisceaux de molécules de collagène – qui s’entremêlent pour donner à notre peau de la résistance et de la souplesse en même temps.
Le corps humain sécrète naturellement du collagène.
Le réseau fibreux de collagène est tissé de façon à maintenir la forme de la peau malgré les déformations qu’elle subit.
Les propriétés mécaniques apportées par le collagène définissent la forme de la peau et donc son aspect visuel.
Toutefois, sous l’effet du vieillissement, la production de cette protéine diminue fortement. L’organisme n’en produit plus en quantité suffisante. Les études montrent qu’aux alentours de 50 ans, la production de collagène peut diminuer de près de 25% et de plus de 40% vers 60-70 ans.