Le relâchement cutané n’est pas qu’une “perte de fermeté”.
C’est le résultat d’un affaiblissement global de l’architecture tissulaire :
– la peau perd son collagène, son élastine, son acide hyaluronique,
– le derme s’amincit,
– les muscles peauciers se relâchent,
– et les ligaments du visage, véritables “points d’ancrage”, se distendent.
Ce processus débute tôt — souvent dès la trentaine —, de façon silencieuse.
Et il ne dépend pas seulement du temps :
le stress oxydatif, le manque de sommeil, la sédentarité, les UV et l’inflammation chronique accélèrent le glissement des tissus.
Le comprendre, c’est déjà mieux le prévenir.
La médecine esthétique n’a pas pour mission d’effacer le temps,
mais de ralentir sa mécanique, en restaurant les fondations du visage avant qu’il ne s’effondre.